Le quatorzième décembre de l'an mille sept cent trente et un François Denanot marguiller âgé d'environ soixante et huit ans était mort au Bourg de st Hilaire après avoir reçu les sacrements son corps fût enterré au cimetière de la paroisse selon les cérémonie de l'église en présence de François Puinuzet dit Trentour et de Guilhon Chabrier qui n'ont seu signer de ce enquis Rouchaud Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
Le septième janvier l'an mil sept cent et trois après la publication des trois bans et toutes les formalitées observées j'ay donné la bénédiction nuptiale à François Denanot et à Françoise Garlandier parroissienne de Pierre Buffière suivant le consentement des Mons. le curé de Pierre Buffière et de en présence de François Garlandier et de Antoyne Lalet qui n'ont seu signeRouchaud Curé Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
Contrat de mariage de François NANOT et Simone VILLENEUVE, le 02.03.1715, devant Me Bourzeix à Solignac (87) Aujourd’hui second du mois de mars mille sept cent quinze, à Solignac, sénéchaussée de Limoges, maison et pardevant le notaire soussigné, présents les témoins bas nommés, après midi, furent présents et constituent en droit FrançoisDenanot, maître serrurier, habitant du bourg de Saint-Hilaire-Bonneval en Limousin, étant de présent en cette ville, faisant tant pour lui, les siens, hoirs et successeurs, d’une part. Et Simone Villeneuve, veuve relicte de feu Jean Raymond, vivant charpentier, habitant dudit Solignac, aussi pour elle, les siens, hoirs et successeurs, d’autre part. Comme soit ainsi que mariage ait été pourparlé, traité et accordé par paroles de futur par les parents et amis de ces parties déntre ledit Denanot, et de lui d’une part, et de ladite Devilleneuve, et délle d’autre part. Aux fins de l’accomplissement d’icelui et pour que les charges en soient mieux supportées à l’avenir, ladite Villeneuve, maîtresse de ses faits et droits, se constitue et à son futur époux, tout fait au profit délle et à son avantage, la somme de cent-vingt livres en argent comptant, linge ou autres meubles meublant, à laquelle somme le tout a été évalué par les parties, se réservant ladite future épouse outre les meubles, un lit garni de sa couette, coussin, couverte, ensemble six serviettes, trois fines et trois grosses, pour disposer d’un lit et serviettes en faveur de sa fille et dudit feu Raymond, quélle lui donnera lors et au temps que ladite Catherine Raymond sadite fille en aura besoin. Laquelle somme de cent-vingt livres en argent ou meubles sus[dits] ladite Villeneuve a dès à présent porté, confié et réalisé audit Denanot futur époux présent, prenant et ???, qui sén est contenté et en a quitté et quitte ladite Villeneuve. Ensemble sést constituée ladite Villeneuve ses habits et linge. Laquelle entière constitution, ledit Nanot a assis, assié et assigne sur tout et un chacun ses biens meubles, immeubles, présents et futurs pour, en cas de restitution d’icelle, le cas arrivant qu’à Dieu ne plaise, le tout rendre et restituer à qui de droit la restitution appartiendra.A quoi faire il a obligé, affecté et hypothéqué tout et un chacun ses biens présents et futurs. Moyennant quoi, et letout sortant à effet, les parties ont promis accomplir, solenniser et faire solenniser le présent futur mariage en face de notre mère sainte Eglise catholique apostholique et romaine, et ce lors et quand l’une des parties en sera sommée et requise par l’autre, aux sus peines, ???, dépends, dommages, intérêts. Auxquelles parties lecture des présentes leur ayant été faite, qu’ils mén ont requi acte, que je leur ai concédé sous le scel de la présente juridiction en la meilleure forme, en présence de messire Charles Bosny Delavergne, écuyer, seigneur de Vauzellas et autres places, habitant en son château de Vauzellas, paroisse du Vigen, et de Noël Garlandier, tisserand, habitant de la ville de Pierre-Buffière, témoins connus à ce requis et appelés, les parties ni Garlandiertémoin n’ont su signer de ce enquis. |
notaire Mazel |
Le vingt huit mars mil huit cent quatre vingt deux, à quatre heurs du soir. Acte de naissance de François Denanot, enfant du sexe masculin né le 27 mars à onze heures du soir au Vieux Boisseuil commune de Boisseuil, des mariés, Martial Denanot âgé de trente trois ans journalier et Catherine Lafrange âgée de vingt quatre ans deumeurant ensemble au dit village du Vieux Boisseuil en cette commune enfant jumeau avec le suivant. Sur déclaration faite par Martial Denanot, âgé de trente trois ans journalier, père de l'enfant qu'il nous aprésenté. Témoins : Beyroux Martial âgé de cinquante neuf ans et Albin L&onard âgé de soixante un ans, propriétaires au Vieux Boisseuil et voisins de l'enfant. Constaté suivant la loi, par nous soussigné Mousnier Buisson maire Officier de l'ata civil de la commune de Boisseuil (Haute Vienne). Après lecture faite du présent acte, le père et les témoins ont déclaré ne savoir signer Source : registre des naisances Boisseuil AD 87 |
Le onziéme juin 1745 a été baptisé par moy soussigné dans la présente église François né d'hier fils de François Denanot marguiller de cette église et de Catherine Chabrier sa femme le parrain a été François Denanot son frére et maraine Catherine Chabrier qui n'ont su signer de ce requis. Bardy Curé de st Hilaire Bonneval Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
Contrat de mariage de François DENANOT et Jeanne NICOT, le 02.02.1768, devant Me Pradeau à Solignac (87) Aujourd’hui second du mois de février mille sept cent soixante huit, en la ville de Solignac, sénéchaussée de Limoges, étude et pardevant le notaire royal soussigné, présents les témoins ci-bas nommés, avant midi, ont comparus François Denanot, laboureur, et sous son autorité autre François Denanot, son fils de feue Catherine Chabrier, ledit Denanot fils dûment autorisé de son père pour léffet et validité des présentes, habitant au lieu du moulin de Lanneau, paroisse de Boisseuil, faisant pour eux et les leurs, d’une part. Martial Nicot, laboureur, faisant tant pour lui que pour Jeanne Nicot sa fille et de défunte Catherine Chavagnac, à laquelle Jeanne Nicot sa fille il a promis faire allouer et ratifier le contenu aux présentes quand, par les susdites parties, il en sera requis, demeurant en qualité de métayer au village de La Planche, paroisse de Saint-Hilaire-Bonneval, aussi faisant tant pour lui, les siens, audit nom, d’autre part. Comme soit ainsi que mariage soit été traité, de pourparlé, pour paroles, des futurs, parents et amis desdites parties, déntre ledit François Denanot fils, journalier, futur époux, de lui d’une part, avec ladite Jeanne Nicot, future épouse d’icelle d’autre part, au traité duquel futur mariage et aux fins de l’accomplissement d’icelui, pour en supporter les charges à l’avenir, ledit Martial Nicot, de son bon gré et volonté, a constitué en dôt et pécuniaire à ladite Jeanne Nicot, sa fille et de ladite Chavagnac, et audit François Denanot son futur époux, toute faite en faveur délle, la somme de soixante livres, plus un lit composé d’une couette, son traversin, le tout garni de quarante livres en plume, une couverte de la valeur de neuf livres, quatre linceuls toile étoupe neufs, quatre serviettes, trois fines et une grosse, un coffre de la valeur de six livres, un cotillon neuf de ratine, avec tous ses autres habits, chemises, manchons et d’autres linges de fille, dans laquelle constitution sont et demeurent compris tous les droits, part et portion que ladite Nicot future épouse peut ou pourrait avoir dans la succession de ladite feue Chavagnac sa mère, en déduction de laquelle susdite somme de soixante livres, ledit constituant en à payer sur ses présentes audit François Denanot père celle de trente livres en espèces, de quoi donne quittance ; et pour les autres trente livres, seront payables par le même constituant d’huy en quatre ans pour tout terme et délai ??? sans intérêt. A ce faire,a obligé tous ses biens meubles et immeubles, présents et futurs. Et pour les susdits lit complet, linceuls, coffre et tous les susdits habits, le tout sera délivré par ledit constituant audit Denanot le jour de la bénédiction nuptiale, d’icelle ??? ne sera de faire d’autre quittance que ses présentes. Et de la part dudit futur époux, ledit Nanot père a fait don et constitution à son dit fils futur époux, ce acceptant, de la somme de soixante livres, laquelle ne sera payable qu’après le décès dudit constituant, sans intérêt jusqu’áa ce, au paiement de laquelle il a obligé tous ses biens meubles et immeubles, présents et futurs. Laquelle entière constitution de ladite future épouse reçue et à recevoir, lesdits Denanot, conjointement et solidairement, l’ont assignée sur tous leurs biens meubles et immeubles, présents et futurs. Pour le cas de restitution arrivant, qu’à Dieu ne plaise, être remis et restitué à qui de droit la restitution appartiendra, les meubles en l’état qu’ils se trouveront. Convenu que lesdits futurs à marier feront leur résidence en la compagnie dudit Nanot, qu’ils y seront nourris et entretenus et la famille qui proviendra dudit futur mariage, en par eux travaillant de leur possible et rapportant leurs revenus et industrie. Et en cas d’incompatibilité arrivant, qu’à Dieu ne plaise, ledit Denanot père remettra ce qu’il aura reçu de la dôt de ladite future et donnera à son dit fils sa part et portion tête par tête, tant sa part et portion des meubles que des grains et autres revenus. Déclarons que léntière dôt de ladite future est de la valeur de cent livres, les droits desdits futurs conjoints faisant en tout cent soixante livres, qui est la totalité à présent de leur fortune, sous lesquels pactes et conventions les susdites parties ont promis solenniser et faire solenniser le dit futur mariage en face de notre mère sainte Eglise catholique apostolique et romaine, tout fait et quand que l’une délles en sera requise par l’autre sous le scel royal en la meilleure forme. En présence de Me Louis Pradeau, huissier royal, et de Raymond Fouliaud, vigneron, habitant de ladite présente ville, paroisse de St-Michel, témoins ; les susdites parties ont déclaré ne savoir signer de ce enquises et interpelées. |
Boisseuil le Mardi 09 Février 1768, Mariage de François DENANOT, demeurant au moulin de Lanaud, fils de François et de défunte Catherine CHABRIER avec Jeanne NICOT, demeurant à La Planche, paroisse de St-Hilaire-Bonneval, fille de Martial et de défunte Catherine CHAUVIGNAC En présence de : Léonard DENANOT, Mathurin DENANOT, Antoine NICOT, Pierre PEYRAT Source : CGHHML |
Le vingt neuf nivose l'an dix de la république française sont comparus en la maison commune de Feytiat pour contracter mariage le citoyen François Denanot âgé de cinquante sept ans laboureur veuf en premiéres noces de Jeanne Nicot domicilié au lieu de Beauregard commune de Boisseuil d'une part et Marguerite Mouret âgée de cinquante cinq ans veuve de Jean Mazauvaix laboureur demeurant au village de Pressac en cette commune d'autre part lesquels accompagnés de Pierre et François Denanot, Pierre Nicaud et Jacques Mouret tous majeurs. Moi maire de Feytiat aprés avoir fait lecture en présence des parties et des témoins de la publication des bans de mariage faite entre les futurs époux le seize nivose à la porte extérieure de la maison commune sans qu'il ne soit fait d'opposition vu le certificat de publication faite à la commune de Boisseuil en date du vingt sept nivose signé Péconet maire. Les parties contractante ayant promis à haute voix de se prendre mutuellement pour époux j'ay prononcé au nom de la loi que le citoyen François Denanot et la citoyenne Marguerite Mouret sont unis en mariage et ai signé le présent acte que les parties et témoins n'ont seu signer de ceenquis Source : Registre des mariages feytiat AD 87 |
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