| Contrat de mariage de Jean GOULET et Marguerite NARDOT, le 24.01.1731, devant Me Dauryat, à Limoges (87) Aujourd’hui vingt-quatrième janvier mille sept cent trente-et-un, avant midi, pardevant le notaire royal à Limoges soussigné, furent présents Jean Goulet, fils de défunt François, journalier, et de Marguerite Villeneuve, demeurant au village de Bellegarde paroisse de Boisseuil, pour lui et les siens d’une part. Mathurin Nardot, fils de feu Cosme Nardot et de feue Jeanne Chabrol, et Marguerite Nardot sa soeur, demeurant au village de Peypot paroisse du Vigen, pour eux et lesleurs d’autre part. Lesquelles parties ont entre elles traîté et accordé par paroles les conventions de futur mariage dudit Goulet avec ladite Marguerite Nardot, qui promettent respectivement de se prendre l’un et l’autre au nom et loi d’icelui et le faire solenniser en face de notre mère Sainte Eglise à la première réquisition d’une desdites parties. Ledit Mathurin Nardot, aux fins de l’accomplissement dudit mariage et pour en aider à supporter les charges, a constitué en dôt à sadite soeur pour tous biens paternels et maternels la somme de soixante livres, plus un lit sans coussin, et une couverture blanche. Se constitue en outre ladite Nardot ses habits, linges et hardes. Lequel lit, couverture blanche et susdits habits, ledit Goulet futur époux reconnait avoir eu et reçu, dont il est content et en quitte tant ladite future épouse que sondit frère constituant, qui promet et s’oblige de payer les soixante livres ci-dessus dans un an prochain pour tout délai, à ce faire a obligé tous ses biens présents et futurs. Et ledit Goulet a en conséquence assigné et assigne ladite entière constitution, qui est en total de la valeur de quatre-vingts livres, sur tous et un chacun ses biens meubles et immeubles, généralement quelconques, pour être rendue et restituée ??? quélle soit, à qui dedroit la restitution appartiendra le cas arrivant, avec ledit ameublement en l’état qu’il se trouvera. Lors et du chef dudit futur époux, il sést constitué tous et un chacun ses biens et droits qu’il a dit être de la valeur de soixante livres. Lesquelles deux constitutions font le total des biens des futurs à marier. Dont et du tout a été requis et octroyé acte que lesdites parties promettent déxécuter à peine de tous dépens, dommages et intérêts, obligeant à ce renonçant à ce faire. Et passé audit Limoges, présents sieurs Mathieu Mérigot et Martial Gery, praticiens, y habitant, à ce appelés. Lesites parties ont déclaré ne savoir signer de ce interpelées. Source : AD 87 |
| Le trentieme janvier mil sept cent trente un après les fiançailles et la publication des bancs de mariage entre Jean Goulet et Marguerite Nardot, et n'ayant découvert aucun empêchement, je les ay mariés et donné la bénédiction nuptiale en présence de Jean Nardot et Jean Baud et Martial George qui n'ont seu signer enquis. Faure curé de boisseuil Source : BMS Boisseuil AD 87 |
| Eyjeaux le Lundi 02 Mars 1829, Mariage de François DENANOT, né le 21 Germinal An 11 (Lundi 11 Avril 1803) au Vieux-Boisseuil, commune de Boisseuil, demeurant au Vieux-Boisseuil, fils de François et de Catherine MOURET, demeurant au Vieux-Boisseuil avec Catherine NARDOU, majeure, née le 28/05/1806, demeurant au Bessaud, fille de Martial, demeurant au Bessaud et de défunte Jeanne PRADAUX/PRADEAU, décédée le 21/05/1809 En présence de : Léonard SILVAIN, âgé de 35 ans, demeurant à La Vermeillerie Jean GROS, âgé de 22 ans, demeurant au Vieux-Boisseuil Jean MENSAT, âgé de 50 ans, demeurant au Châtenet, commune de Feytiat Jean REIX, âgé de 23 ans, demeurant à Proximart, commune de Panazol Commentaires : Publications les 15/02/1829 et 22/02/1829 à Eyjeaux. Ce relevé a été effectué grâce à la participation de Serge VERGNAUD Source : CGHHML |
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