| Le huitiéme septembre de l'an susdit (1714) fut baptisé Léonard Nicot fils de François Nicot et Isabeau Vinours sa femme. Le parrain fut Léonard Nicot et mareine Isabeau De Bernard qui n'ont seu signer Rouchaud curé Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Le sixiéme jour du moy de février 1739 a esté baptisée Léonarde Nicot née le jour précédent fille naturelle et légitime à Martial Nicot laboureur du village de Puimaurée paroisse de St Hilaire Bonneval et de Françoise Pouret son âepouse a esté parrein Léonard Roux de la grattade de la paroisse et marreine Léonarde Decher du village de Cheynou paroisse d'eyjaux lesquels ont déclaré ne savoir signer de ce enquis S. Mouret curé de st hilaire bonneval Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Le second janvier 1744 a été baptisé par moy soussigné Léonarde née aujourdhui fille de Martial Nicot laboureur et de Françoise Pouret sa femme le parein a eté Jacques .. laboureur et mareine Léonarde Pouret. Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Le dixseptiéme mars de l'an mille sept cent dixneuf fut batisée Marguerite Nicot fille de François Nicot et Isabeau Vinours sa femme. Le parain fut Charles De Bernard et maraien Marguerite Poujoulaud qui n'ont seu signer de ce enquis Rouchaud curé Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Le vingt six février 1748 après les fiançailles et la due publication des trois bans de mariage sans aucun empêchement j'ay bien et duement marié Martial Nicot âgé de 23 ans fils à feu François Nicot et de Isabeau Vinours du lieu de La Planche et Marie Arnaud âgée de 18 ans fille de Jean Arnaud laboureur et de Catherine Demaison du lieu de Roulhac tous les deux en cette paroisse en présence de Léonard Nicot, ANthoine Gratade, Léonard Arnaud, Jean Demaison parain des parties témoins non signataires. Bardy curé de St Hilaire Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Le dixiéme mars l'an mille sept cent neuf fut baptisé Martial Nicot fils de François Nicot et Ysabeau Vinours sa femme. Le parain fut Martial Vinours et maraine Jeanne Nicot qui n'ont seu signer de ce enquis Rouchaud curé Source BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Testament de Martial NICOT, le 29.08.1776, devant Me Pradeau à Solignac (87) Aujourd’hui vingt-neuf du mois d’août mille sept cent soixante-seize, au village de La Planche, paroisse de Saint-Hilaire-Bonneval, sénéchaussée de Limoges, et dans la maison dépendante du domaine de Monsieur Devoyon, conseiller et procureur du Roi au bureau des finances de la présente généralité, pardevant le notaire royal soussigné, présents les témoins ci-bas nommés, environ midi, a comparu Martial Nicot, laboureur métayer dudit sieur Devoyon au présent domaine et y habitant, lequel étant dans son lit malade d’une maladie ???, toutefois saint désprit, mémoire et entendement ainsi qu’il nous a paru et aux témoins ci-bas nommés, considérant la certitude de la mort et l’incertitude de l’heure d’icelle, ne voulant décéder de ce bas monde sans avoir disposé du peu de biens qu’il a plu a Dieu lui donner, il a prié et requis le notaire royal soussigné de lui écrire et recevoir son testament ???patif qu’il a lui-même dicté en la forme et manière qu’il sénsuit. Premièrement, il a recommandé son âme à Dieu, à la glorieuse Vierge Marie, à St Martial son saint patron, et à tous les saints et saintes du Paradis, les priant qu’après que Dieu aura fait son commandement de colloquer son âme dans le royaume des cieux. Veut ledit testateur qu’après sa mort que son corps soit apporté en l’église paroissiale dudit Saint-Hilaire, qu’il lui soit fait les services divins et acoutumés, et ensuite enterré dans le cimetière de ladite paroisse, et payer à monsieur le curé d’icelle ses honoraires acoutumés, plus la somme de quinze livres à lui payable dans dix-huit mois à compter du jour de son dit décès par son héritier ci-bas nommé, à la charge par ledit sieur curé de dire et célébrer des messes de requiem jusqu’à concurrence pour le repos de l’âme de lui testateur, moyen ce veut qu’autre chose ne puisse prétendre en ses biens et future succession. A déclaré ledit même testateur quén premières noces avoir été joint par vrai et loyal mariage avec feue Françoise Pouret, duquel mariage seraient provenus plusieurs enfants, dont il reste de vivant après elle François et Antoine Nicot, ses deux fils naturels et légitimes ; que ledit François Nicot serait marié avec Jeanne Audevar, et ledit François Nicot serait décédé depuis environ deux ans et a laissé à lui survivant Anne, Jeanne, Marguerite, François et autre Jeanne Nicot ; que par le contrat de mariage d’icelui François Nicaud avec ladite Jeanne Audevard lui aurait constitué la somme de cent quarante livres, y compris les droits de ladite Françoise Pouret, suivant le contrat du trente janvier 1757, reçu par Bardy, notaire à Limoges, et contrôlé. Outre la susdite somme, ledit testateur donne et lègue auxdits cinq enfants ou fille dudit feu François Nicot la somme de trente livres, une fois payée et divisible entre eux, payable à chacune de leur majorité et sans intérêt jusqu’à ce par son héritier ci-bas nommé. Moyen ce, veut que tous chacun aient à se contenter et ne rien plus prétendre en ses biens et future succession ; en ce ils les faits tous et les institue ses héritiers particuliers. Plus le même testateur a aussi déclaré avoir été joint par vrai et loyal mariage avec Catherine Chavagnac, duquel mariage seraient provenus Jacques, François, Jeanne, Françoise et autre Jeanne Nicot, deux garçons et trois filles, tousses enfants naturels et légitimes et de ladite feue Chavagnac. Lequel Jacques Nicot est marié et, outre ce qu’il lui a institué, icelui testateur lui donne et lègue un pôt de fer et un ???, le tout de la valeur de trois livres dix sols,à lui payable dans l’année du décès de lui testateur. Plus donne et lègue le même testateur audit François Nicot, son plus jeune fils, la somme de quarante livres une fois payée, avec ses payes de peigneur de chanvre, lesdites payes à lui délivrables après le décès de lui testateur, et la dite somme de quarante livres payable dans trois ans et sans intérêt jusqu’à ce. Plus aussi donne et lègue à ladite Jeanne Nicot sa plus jeune fille la somme de quarante livres, plus un lit à façon de village de la valeur de trente livres, quatre linceuils toile étoupe, quatre serviettes grosses et autres deux serviettes ???, toutes neuves, le tout payable à sa majorité ou lors d’un établissement en vrai et loyal mariage. Plus donne et lègue à ladite Jeanne Nicot l’aînée, outre ce qu’il lui a constitué, la somme de cinq sols, une fois payée. Moyen tous lesquels susdits legs, ledit testateur veut que tous sesdits enfants et filles aient à se contenter et ne rien plus prétendre en ses biens et future succession. En ce il les a tous et toutes faits et institués ses héritiers particuliers. Et aux résidus de tous et un chacun ses autres biens, tant meubles que immeubles, icelui testateur, de son bon gré et volonté, il a fait, créé, institué de sa propre bouche, il a nommé et nomme par ses présentes pour son héritier général et universel, seul et pour le tout, ledit Antoine Nicot, son fils, pour par lui jouir, user et disposer de son entière hérédité à son plaisir et volonté, comme de sa chose propre, et immédiatement après le décès de lui testateur, en par lui payant tous les susdits legs et autres charges testamentaires et héréditaires. Casse, révoque et annule le même testateur tout autre testament, codicille, donnation à cause de mort qu’il pourrait avoir par ci-devant fait, voulant et entendant que celui-ci soit le sien dernier, et que s’il ne peut valoir par forme de testament, qu’il valle et sorte à effet par forme de codicille et par toutes autres formes que testament, codicille, donnation pourront dûment valoir. Et lecture faite audit testateur par le notaire royal soussigné, présents les témoins ci-bas nommés, icelui testateur a déclaré être son intention extrême et dernière volonté. De tout quoi il a requis acte, qui lui a été concédésous le scel royal, en présence de Messire Léonard Devoyon, conceiller et procureur du Roi, de Messire Léonard Devoyon, écuyer, de Léonard Léonardou, domestique, habitant de la ville de Limoges, de Pardoux et François Faure, père et fils, laboureurs, de Pierre Patiangeas, domestique, habitant du présent village, tous témoins connus et requis à ce appelés. Ledit testateur, ensemble lesdits Faure et Patiange, ont déclaré ne savoir signer de ce enquis et interpelés ;le susdit jour vingt-neuf août mille sept cent soixanteseize. |
| Le huitiéme du mois et an susdit (février 1728) ayant observé toutes les formalités prescrites par l'église j'ai donné la bénédiction nuptiale à Martial Nicot et a (blancç Pouret présent au mariage étaient François Denanot Marquillier et Léonard Roux qui non seu signer aussi bien que les partie de ce enquis Rouchaud Source : BMS : St Hilaire Bonneval AD 87 |
| Le vingt octobre 1744 après les fiançailles et la due publication des trois bans de mariage ne sétant trouvé aucun empêchement je soussigné ay conjoint en mariage selon les régles de l'église Martial Nicot âgé de 35 ans fils de François Nicot et Isabeau Vinour veuf de Françoise Pouret de la présente paroisse et Catherine Chavagnac veuve de Jean Janet de la paroisse susdit en présence de Léonard Janet beaufrère de l'épouse, de Gentil Chavagnac son frére, de Tenance cousin de l'époux et de Léonard Nicot témoins qui n'ont seu sinon non plus que les parties de ce enquis Bardy curé de st hilaire Source : BMS St Hilaire Bonneval AD 87 |
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