Le trente et unniéme jour du mois de janvier de l'année mille sept cent quarante et un, après les fiançailles et la publication des trois bans, j'ay marié Léonard Laplau fils de Léonard Laplau et de Catherine Deconchat, laboureur et habitant du lieu de Luret de cette paroisse, âgé de vingt ans ou environ avec Catherine Chaptard fille de François Chaptard et de Marie Dutoueil habitante du village du Chatenet paroisse du Vigen, âgée d'environ dix huit ans et leur ay donné la banédiction nuptiale avec le congé de Mr Leissene curé du Vigen en présence de leurs parents et de Lacques Deconchat laboureur tout habitant du lieu du Luret, de Joseph Laplau, de Léonard Laplaud laboureur et habitant du village de Feix présente paroisse et de Pierre Desmaisons marguillier qui ont tous déclaré ne savoir signer Delaplace curé de st jean Source BMS St Jean Ligoure AD 87 |
Me Dufour notaire Elle est dite veuve de Cosme Chaptar et renseigne ses enfants Mathurin, prêtre curé Mathurin Me savetier au Vigen Jeanne épouse de Jean Sotte feu Léonard époux de Marie Dutreuilh dont : Noël, Jean, Catherine epouse de Léonard du Chastenet, Anne épouse de Léonard Fages, Catherine et autre Catherine Martial son héritier universel Martial dit le petit Cosme a épousé Catherine Dutreix par CM du 1 février 1656 chez Me Mensat dont les archives ne sont pas déposées au AD, mais mention reprise sur le réglement de la succession de Catherine Dutreix en 1725. Elle serait décédée le 18 septembre 1709 Martial teste le 13 septembre 1709 chez Bourzeix notaire il est dressé un inventaire après son décés le 14 septembre 1709 inventaire daté du 12 décembre 1709 par Me Bourzeix. Il y avait deux frères prénommés Mathurin, l'un étant prãetre vicaire au Vigen, l'autre Me Savetier au Vigen Son testament renseigne 6 enfants: Michelle épouse Etienne Penot dit Labourdy Léonard, Marie, Anne, Cosme et Jean Marie épouse par CM du 17 novembre 1689 cher Me Bonneysset Jean de Villeneuve dit le Cadet Source : Christiane Villeneuve |
chez Bonneysset notaire à Solignac |
Le vingt huit oct. 1675 a esté baptisé Cosme fils de Martial Chaptard et de Catherine Dutreil sa femme du village de Méniéras, a esté parrain Cosme este tesmoin Laurens Varnou la marraine (illisible) Chaptard fille dudit Martial lesquelsnon seu signer curé du Vigen Source : BMS Le Vigen AD 87 |
Contrat de mariage de Cosme CHAPTARD et Marguerite VARNOU, le 05.02.1702, devant Me Gueytou, à Solignac (87) Le cinquième février mille sept cent et deux, à Solignac, maison et pardevant le notaire soussigné, présents les témoins bas nommés, avant midi, ont été présents et personnellement établis Martial Chatard, Catherine Dutreix sa femme, et Cosme Chatard leur fils, habitants du village de La Chapelle, paroisse du Vigen, ladite Dutreix et ledit Cosme Chatard duement émancipés dudit Martial Chatard mari et père pour la validité des présentes, faisant tant pour eux que pour les leurs, d’une part. Et Laurent Varnou, et Catherine Chatenet sa femme, et Marguerite Varnou leur fille, d’ici absente, à laquelle ledit Varnou a promis faire approuver et ratifier les présentes, à peine de tous dépends, dommages et intérêts, faisant tant pour eux que pour les leurs, d’autre part, et habitant au bourg de la paroisse du Vigen. Comme soit ainsi que mariage soit été pourparlé par les parents et amis des parties déntre ledit Cosme Chatard et Marguerite Varnou, et à cette fin que ledit mariage soit mieux supporté à l’avenir par les dites parties, ledit Varnou etladite Chatenet ont constitué à ladite Marguerite Varnou et à son dit futur époux, toutefois au profit d’icelle, chacun la somme de cent livres, faisant celle de deux cents livres, un lit garni de couette, coussin, couverte, quatre linceuls de boiradis, et les habits quélle a de présent, ledit lit pesant en plume cinquante livres, et la couverte de la valeur de neuf livres, payable ladite somme de deux cents livres savoir celle de cinquante livres dans deux ans, et le surplus de ladite somme se paiera cinquante livres d’an en an jusqu’à fin de paiement, sans intérêt pendant lesdites deux années. Et à l’égard de l’ameublement, lesdits Chatard ont déclaré l’avoir reçu avant ces présentes, et en ont quitté ledit Varnou. Lesquelles choses prenant et recevant par lesdits Chatard les ont dès à présent obligées sur tous et un chacun leurs biens, pour le tout rendre à qui de droit il appartiendra. En faveur et contemplation dudit mariage, ledit Martial Chatard et ladite Catherine Dutreix sa femme ont constitué audit Cosme Chatard leur fils chacun la somme de cent livres, payable après leurs décès, sans intérêt, en ce qu’ils seront tenus de nourir et entretenir lesdits futurs époux et les enfants qui descendront de leur mariage, en par eux rapportant leurs heures et travaux audit Martial Chatard. Et moyennant ce, lesdites parties ont promis solenniser ledit mariage en face de sainte mère Eglise apostolique et romaine, et ce lors et quand une partie en requerra l’autre, à peine de tous dépends, dommages et intérêts. Dont et de quoi a été concédé lettres en la meilleure forme, en présence de Robin Chatenet, laboureur, habitant du lieu de Reynoux, paroisse susdite du Vigen, Léonard Varnou, aussi laboureur, habitant du village du Puytor, susdite paroisse, sieur François Lombard, et de Pierre Gueytou, praticien, habitant de la présente ville, témoins connus à ce requis et appelés. Lesdites parties, Chatenet, Varnou, témoins, ont déclaré ne savoir signer de ce enquis. Source AD 87 |
Testament de Etienne CHAPTARD, le 01.09.1669, devant Me Bechade, à Solignac (87) Le premier jour du mois de septembre mille six cent soixante-neuf, au Bois-Ligoure, paroisse du Vigen, et dans la maison un de leurs métayers, Etienne dit Thève Chaptard, laboureur à cinq vaches des frères ??, a été présent ledit Thève Chaptard, lequel étant dans son lit malade de son corps, sain par la grâce de Dieu de ses raison et entendement, considérant ??? (peut-être «les misères du bas monde»), et comme il n’y a rien plus certain que la mort et plus incertain que l’heure d’icelle, ????????son testament et dernières dispositions des biens qu’il a plu à Dieu lui donner, a fait son testament nuncupatif et dernière volonté en la forme qui sénsuit. Et premièrement a fait le signe de la croix sur sa ?, disant «in nomine patri et filii et spiritu sanctiamen», a recommandé son âme à Dieu, à la glorieuse Vierge Marie, à tous les saints et saintes du paradi, veut et ordonne que lorsqueDieu aura fait son commandement délle et que son âme sera séparée de son corps, désire être porté en l’église paroissiale du Vigen, inhumé au cimetière d’icelle au tombeau de ses prédécesseurs, et que à sa sépulture et repos deson âme il soit fait une messe dans ladite église, et que pour ce il soit payé à monsieur le curé et autres ? ses gages acoutumés, ?????????? curé prêtre du Vigen ainsi à continuer tous les premiers jours du mois de janvier de chaque année de ? dans ladite église du Vigen ??? à son intention, et qu’il soit payé audit sieur curé ? comme ledit testateur a ainsi ???? payé par le passé à chaque jour premier de janvier, et moyennant ce veut que ne puisse rien prétendre autre chose sur ses biens. Item ? ledit testataire à ses enfants Marie ? Faye sa fille avec Martial Pradeau, Marie Faye avec Mathurin Faye, et Antoine Faye avec Marguerite Nouhaud (?), auxquels il a constitué ??? la somme de six livres ???????????????apposé au contrat de leurs mariages, et moyennant ce veut qu’ils ne puissent prétendre autre chose en ses biens, ??????????????? la somme de cinq sols. Item, et parce qu’il lui est dû par Jean Faye, dit Briseboy, son beau-frère, la somme de ........ et qu’il reste audit Martial Pradeau bien peu de ????et quelques habits???????????? que lorsque le terme de payer par ledit Briseboy sera ? que ledit Pradeau son gendre ????? audit Briseboy ????? de ce qui lui est ? de principal et habit ????? ne puisse rien prétendre jusqu’à ce que ledit Pradeau ??????? la somme qui lui est échue et habits de la constitution. Item ? ledit testataire à Françoise et Catherine Faye ses deux filles, donne et lègue à chacune d’icelles la somme de ???, un lit garni de plumes, couette, coussin, garni de cinquante livres de plume, ????? chacune ??? quand elles auront trouvé parti pour se marier et au parti qui sera accordé par les parents, ou quélles auront atteint l’âge de vingt-cinq ans, et jusqu’à ce veut quélles ??? et prétendre dans ses biens ?????????????????? et moyennant ce les a faites seshéritières particulières. Item, au restant de tous et chacun ses autres biens, tant meubles que immeubles, présents et à venir, ledit Etienne Chaptard a fait, cité, et par sa propre bouche nommé ses héritiers universels Jean et autre Jean Faye ses deux enfants, chacun par moitié et égales portions, en ce que néanmoins ils ????? pour Anne Faye sa femme, mère desdits Jean, ?? soit donné ????jouissance de tous et chacun ses biens jusqu’à ce que lesdits eux enfants aient atteint l’âge de vingt-cinq ans, pendant lequel temps elle sera tenue de payer les charges, nourir et entretenir sesdits enfants et filles en par eux rapportant leur revenu et travail au profit de ladite Faye leur mère. Et après que lesdits Jean et autre Jean aurontatteint l’âge de vingt-cinq ans et prennent ladite hérédité, ledit testataire veut en entend que sadite femme soit ? et entretenue dans ses biens honnêtement et selon sa qualité par sesdits deux enfants, et sans néanmoins que sadite femme soit soit tenue d’aucune rédition de compte ni ????? quélle avisera son hérédité, de laquelle ledit testataire l’a réservée. Et pour léxécution de son présent testament, a nommé ledit Jean Faye dit Briseboy son beau-frère, auquel il a laissé puissance. Fait audit Bois-Ligoure, en présence de Martial De Vieilleville, fils de Brandy, habitant du village de ??? de la paroisse de St-Priest-Ligoure, Jean Sott de Ligoure, ????, laboureur demeurant à Narbonnais paroisse du Vigen, témoins à ce appelés. Ledit testataire ni les autres que dessus, De Vieilleville ???, n’ont su signer de ce enquis. Source : AD 87 |
Note: Couple en commun avec Olivier Chatard dont c'est une branche principale http://touscousins.geneanet.org/contact/ochatard/Olivier-Chatard |
Le douze janvier mille sept cent trente six a eté baptisé François Chatar fils légitime de Mathurin Chatar et de Léonarde Faucher sa femme du village de Ménièras lequel était né le mesme jour a été parin François Faucher et maraine Léonarde Chatar qui ont déclarés ne savoir signer de ce enquis Ruben vicaire du vigen Source : BMS Le Vigen AD 87 |
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